La Corima-111km (24/3/2013) - Année : 2013 |
Distance du parcours : 111.00 kms |
Résultats complets : Classement |
Résultats partiels |
Scratch | Nom | Club | Cat | Place/cat. | Trophée | Temps | Moyenne |
1/531 | DEVLLE Anthony | V C des Alpilles | A | 1/27 | ![]() |
3h08:37 | 35.31 km/h |
293 | WISNIEWSKI Georges | VC Val de Cèze | F | 11/25 | - | 3h54:04 | 28.45 km/h |
330 | LIEVENS Eric | VC val de Cèze | C | 129/193 | - | 4h02:00 | 27.52 km/h |
333 | PESENTI Isabelle | VC Val de Cèze | W2 | 6/10 | - | 4h02:02 | 27.52 km/h |
380 | HOUDEBINE René | VC Val de Cèze | F | 16/25 | - | 4h10:27 | 26.59 km/h |
Yourek Un pneu éclaté(la chambre à air plutot),la chute évitée de peu au début de la derniére descente(le plus dur était fait);une bonne vingtaine de minutes perdues;un gros coup de froid ayant engendré des problémes gastriques à tel point que j'ai été contraint d'arréter de manger au milieu du repas;plus envie de rien,si ce n'est de rester au chaud! Désolé ,les copains,pour mon manque de convivialité,hier,;j'avais pourtant prévu la biére;ce n'est que partie remise! Il reste un point positif:la forme semble étre revenue;à confirmer,en ce qui me concerne,à la Roger Pingeon;j'ai soif de revanche! |
Eric « Pluie du matin n’arrête pas le cycliste » Pour ma première participation à la CORIMA, j’avais opté pour retirer mon dossard la veille et faire, en voiture, la reconnaissance du premier col, en l’occurrence le « Colombier ». Un temps, j’avais espéré que les prévisions météo soient fausses, mais au réveil, la pluie était bien là et même installée pour toute la journée !!! J’arrive, le dernier, au point de rendez-vous au parking de Leclerc. Vêtu de surbottes et d’un blouson étanche et de gants « waterproof », je me présente sur la ligne de départ accompagné d’Isabelle, Christian, René, Patrick et Philou. Je n’aperçois pas Jojo qui est bien derrière. Le départ est donné à 9h30 pour environ 1200 participants, tous parcours confondus. A la sortie de Montélimar et après les 5 premiers kms neutralisés, l’allure est relativement soutenue dans ce long faux-plat qui nous conduit au 1er col. Je passe René et Isa, Christian et Philou sont devant, Patrick et Jojo ne sont pas loin derrière. A l’approche du col du Colombier, Jojo, en position aérodynamique style « Concorde » me dépasse, mais je décide de ne pas prendre sa roue. Je monte à mon rythme et suis rejoint par Patrick, dans le brouillard, non loin du sommet. Je bascule et invite Patrick à prendre ma roue en vain. Malgré la chaussée mouillée, j’attaque assez fort dans la descente et double un paquet de cyclistes jusqu’à Grignan. Je n’ai fais que 20 bornes mais je suis déjà trempé jusqu’aux os. C’est la galère et je perds beaucoup de place durant ces 25 kms qui me mène jusqu’à Dieulefit. J’attaque le col du Grand Bois en compagnie d’un groupe d’une quinzaine de coureurs et me retrouve en queue avec un type de mon gabarit, je lui lance « sale temps pour les poids lourds… » car cela grimpe pas mal. Soudainement, au premier tiers du col je ressens une forte contracture à la cuisse gauche et finis à la peine les 2/3 restants sur quasiment une seule jambe. Je mouline dans la descente et le mal semble passé, j’envoie le 50x12 et je reprends quelques places. Néanmoins, je gère la fin du parcours car je crains que cela revienne. Aux alentours du Km 80, Isa, au sein d’un groupe d’une douzaine, me rejoint. Ca roule correct et la forme revient. J’assure régulièrement les relais en compagnie d’Isa et après Marsanne Km 95, le groupe explose quelque peu. On finit à vive allure et je prends la roue d’un coureur du grand parcours qui nous double (dossard 1408 de Montagnac qui finira 7ème), il me demande ensuite de prendre un relais et nous roulons à plus de 35 km/h. J’aborde le bouquet final (22/24 %) à la hargne sur le 34x27, c’est Verdun !!! A gauche on monte à pieds sur la moquette posée par l’organisation, à droite il y a des spectateurs et devant ça zigzague beaucoup. J’arrive néanmoins en haut et me retourne, Isa n’est pas loin et je l’attends pour finir les derniers hectomètres. J’envoie un peu sur la ligne droite, reprends 2 ou 3 types, et finis en tête de notre maigre groupe. Après un bon ravito sur la ligne d’arrivée, nous repartons à nos véhicules. Je suis congelé !!! Je me change, j’enlève mes gants Water plouf ! ma combinaison de plongée, palmes, masque et tuba… En attendant Patrick, Christian et Philou, je tourne en camion, chauffage à fond, sur le parking afin de me réchauffer, puis dans le camping-car de René je commence enfin à me échauffer. Vivement les beaux jours |
Verni Bon puisque ça fait boule de neige , je vais en rajouter une couche . !! Pour la première fois où Jojo fait le déplacement en CC on est servi par la météo ; sur le parking Leclerc on se gare au fond comme d¹habe , il y a déjà J P Raoul , enfin son CC est là , lui on l¹entendra plus tard !! On va à la recherche des dossards et accessoirement de quelques morceaux de nougat , le « village » des exposants n¹est pas envahi , mais on comprend vite quand on voit le prix des vélos !! les cadres à 5, 6000 euros ne sont pas des exceptions !!! Il pleut correctement toute la nuit , et le matin une accalmie laisse espérer une bévue de la météo A l¹arrivée des acolytes du club je suis encore en train de me préparer , c¹est dire si j¹ai le couteau entre les dents !!! On part se placer dans le paquet sous un ciel menaçant mais pas encore décidé , en réflexion quoi !! Il y a déjà une bonne moitié des participants , on sera donc vers le milieu ;le parcours dans les rues de Montélimar n¹ est pas génial , mais avec un peu de prudence ça passe bien . Je ne vois déjà plus Christian ni Philou depuis un moment quand Éric passe , mais pour prendre la roue je vote : abstention !! Je navigue avec Isabelle , et en passant à Espeluche , juste passé le rond-point je me dis que j¹ai déjà fait mieux que l¹an passé où j¹avais opéré là un demi tour remarquable ! Jojo est passé depuis un moment lorsqu¹on attaque la première difficulté , les jambes tournent à peu près bien , on fait la bosse sans se mettre dans le rouge ; je ne la voyais pas si longue , Éric m¹avait parlé de trois bornes , mais il me semble qu¹elles étaient bien longues !! La pluie nous accompagne depuis un bout de temps déjà , la route bien entendu est trempée , mais on fait la descente à fond , rattrapant quelques concurrents qui nous ont fait l¹affront de nous passer dans le col . Ces derniers temps je n¹ai pas beaucoup roulé , relevant d¹une grippe ,et je suis assez vite au bout de mes capacités , le dégrippage étant une opération qui réclame du temps , du savoir faire , et une expérience que je n¹ai pas en ce domaine , aussi à la remontée du premier village Isabelle prend déjà le large et je mouline gentiment . Je prends autant de roues que je peux et finis par reprendre le groupe d¹Isa , mais un long faux plat montant me fait décrocher et je me retrouve seul , je vois partir le paquet , mais Isabelle est à court d¹entraînement et finit par lâcher aussi , je lui dis de filer , que je décrocherai à la prochaine bosse , mais elle m¹attend . Dans ce genre de cyclo où il y a beaucoup d¹engagés , l¹avantage c¹est qu¹il y a toujours un groupe pour te récupérer On attrape donc le wagon suivant et je suis jusqu¹au dernier col , entre temps on a récupéré Patrick , lorsque je commence à décrocher d¹Isabelle dans les lacets du haut , je vois Patrick à cent mètres derrière et Isabelle à cent mètres devant , je me dis qu¹on se rassemblera dans la descente ,mais le col est encore long , et je perds le contact avec ma fille . Patrick me rejoint en haut pour un court moment ( j¹apprendrai à l¹arrivée qu¹il a crevé deux fois )je fais la descente prudemment car c¹est vraiment trempé et il n¹y a plus rien à gagner , je suis largué depuis longtemps !! Le retour aquatique , je l¹effectue dans un petit groupe qui ne cherche pas la cohésion , donc ça part dans tous les sens au rythme de ceux qu¹on rattrape ou qui nous reprennent . J¹ai eu le tort de faire la veille , à pied , le raidillon d¹arrivée à des pourcentages indécents ; au dernier ravitaillement je m¹arrête , je croque deux quartiers d¹orange et je me dis ce que je me suis dit la veille , je ne risque pas de monter à vélo cette pustule infâme qui a été placée là pour je ne sais quel dessein !! Lorsque se présente le bestiau je mets tout à gauche et ne cherche pas à forcer le destin .Je monte donc à pied ce petit bout de moquette pas vraiment marrant mais qui permet de souffler et de philosopher sur l'esprit ô combien sportif de ce décourageur de pédalage !! Et voilà , moi je n¹ai pas monté limar en vélo et ça ne me manque pas , je ne m¹engagerai à la prochaine édition qu¹avec la garantie du beau temps!! |